Danse classique, break dance et paroles véhémentes se mêlent de manière fracassante ! Une pièce joyeuse et explosive qui dresse le portrait d’une génération.
Programmation conjointe avec le Centre Dramatique National de l’océan Indien.
Caverne, entrepôt, sortie de service d’une boite de nuit ou foyer d’accueil ? Le décor de La Tendresse évoque en même temps tous ces non-lieux pour mieux faire trembler son personnage principal : la masculinité.
Fruit d'un long processus d'investigation et de recherche, de rencontres avec des jeunes de tous horizons, La Tendresse réunit sur le plateau des jeunes hommes qui, par la parole ou la danse, viennent raconter leur parcours de manière fracassante.
Armés de paroles recueillies, de monologues littéraires signés Alice Zeniter, de ballerines ou de kalashnikov, les huit jeunes mecs de la troupe des Cambrioleurs font exploser les codes du théâtre et du patriarcat dans une battle rangée qui emprunte aussi bien au break acrobatique, à l’humour, à la bagarre de rue ou au ballet.
Rapport à la paternité, au corps, à la séduction, aux filles et aux garçons : à corps perdus, rien d’impossible ! D’une vitalité folle, ce spectacle renversant, joyeux et explosif, fait bugger l’identité du boug pour faire naître un homme nouveau, dans la joie et dans la tendresse ! Le portrait d’une génération à l’heure de #metoo.
Huit hommes de divers horizons se volent dans les plumes et interrogent ensemble le patriarcat et la masculinité. Épatant et joyeusement explosif !
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C’est le pourcentage d’hommes de moins de 35 ans qui disent « ne pas se reconnaître dans la définition de l’homme véhiculée par la société actuelle ».
Uit boug ki sort shakin zot bor, I totoshe in-é-lot pou koz serié dsu : kossa-sa patiarka, sanm, kossa i lé viv an bonome.