Nouveau spectacle et nouvel album avec Koulèr Maron qui fait la part belle aux voix et aux percussions. Un beau moment de live en perspective, entre tradition et modernité !

 

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ATTENTION en raison des conditions météo, concert du 17 mai reporté au Mercredi 5 juillet à 19h, au TÉAT Plein Air

> Vous avez des billets pour le 17 mai ? Ils restent valables pour le 5 juillet

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Pour Jean-Paul Sartre, père de l’existentialisme, « Ne pas choisir, c’est encore choisir ». C’est avec cette idée en tête qu’il faut considérer Apolonia, qui refuse obstinément de séparer les mots séga et maloya pour revendiquer, disque après disque, un héritage artistique métisse et indivisible qui navigue toujours librement de l’un à l’autre.

C’est tout le talent d’Escyle, qui bat à sa manière une souriante campagne culturelle, se moquant des guéguerres de chapelles. Sa dernière fantaisie ? Le Tougoudou, attelage rythmique formé à partir des percussions traditionnelles réunionnaises, avec lequel il accompagne les chansons de Koulèr Maron, nouvel enregistrement où la pulsation ternaire du cœur créole s’accorde joliment aux sonorités exotiques du ukulélé.

Le nouveau coup de maître d’un habile dealer de mots et d’ambiances festives, toujours à la maison sur les planches du Plein Air.

 
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C'est en 1991 que Bruno Escyle, fondateur et leader du groupe sort sa première cassette. La cassette audio apparaît en 1963 et sera à la base du succès mondial du Walkman. En perte de vitesse depuis l’apparition du CD en 1983, le support tend à disparaître au début des années 2000, même si certains groupes comme Archive ou Daft punk ont pu éditer des albums en cassette, pour des besoins promotionnels.

 

 

 

Photos

Illustration : Apolonia

Crédits

La Réunion / Lead, percussions Jean-Bruno Escyle / Voix, percussions Paël Gigan / Voix, percussions Nicole Iefa / Basse, youkoulélé Jacky Moutoussamy / Photo © DR